Je sais... J'ai mis super longtemps à faire ce chap et je suis vraiment vraiment désolée, mais je me suis consacrée à mes fics HPDM ^^ 

Je laisse des réponses aux comms sur mes autres fics et pas sur celles-là... O_O Donc, je compte y remédier immédiatement ^^

 

JoY: lol... Je compte sur toi pour lire celle-là ou je te coupe la gorge... (raah... possédée par Sweeney Todd =p)

Elle Sid: Y a pas à dire, tes comms sont toujours aussi instructifs ptdr

saya: Une adepte de Fang? Encore... Toi, Galech (moi XD)... On va faire un fan-club mdr

Galech: Je suis heureuse que tu craques sur Fang (voui, moi aussi je l'aime bien =p) La suite arrive enfin =p

maya: Tu aimes mes Drarrys? Ca me fait plaisir ^^... Ne t'en fais pas pour les comms, le plus important c'est que tu m'en poste troissur ce chap (O_O... Trois???) ^^ Pour le dessin, fais pas gaffe... Je sais pas dessiner et j'étais malade ce jour-là XD

Ai-Vân: Bah celle-là t'as du l'attendre encore plus longtemps --'... Bref, j'espère qu'elle te plaira =p

meroko: Ah les vampires... Quelles charmantes petites bêtes (aiieuh! Fang ça fait mal les morsures... Ca va, ça va, je retire... Vous n'êtes pas charmants et vous n'êtes pas petits --')

Lilie: Heureuse que ma fic te plaise =p

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La journée passa lentement pour Katsumi, qui ne cessait de repenser à sa rencontre avec ce Fang. Pourtant, il n'était pas homosexuel pas vrai ? En faite, il ne s'était jamais vraiment posé la question. Il avait été élevé par une famille très traditionnelle, dont le seul but était de se marier et d'avoir des enfants pour perpétrer la descendance. L'homosexualité était un sujet tabou, de même que la sexualité ou la drogue. Quand sa mère et son père étaient toujours en vie, il s'était teints les cheveux en blonds et avait s'était fait percé les oreilles pour ''se rebeller'', et, ce jour-là, ses parents avaient faillit avoir une crise cardiaque. Mais vivre dans ce genre de famille ne garantit pas pour autant la ''famille parfaite'', bien au contraire : son père se droguait et sa mère couchait à droite et à gauche.

 Lorsqu'il entendit la sonnette annonçant la fin des cours sonner, Katsumi se dépêcha de sortir, et alla récupérer sa petite soeur chez Kimuko.

 _ « Ah... Salut Katsumi. »

 _ « Salut Kim. Mitsuko est prête ? »

 A l'entente de son nom, la petite fille courut dans les bras de son frère.

 _ « Comme tu vois... »

 _ « Est-ce que je peux encore un peu te la confier ? Il faut que j'aille faire deux ou trois petites courses et je ne veux pas laisser Mitsu seule. »

 _ « Bien sûr. »

 Katsumi embrassa sa soeur sur la joue, tendrement, avant de lui murmurer qu'il revenait bientôt.

O.O

 Il revenait des courses, un sachet à la main et ses pas le menèrent inconsciemment à l'endroit où il avait rencontré ce Fang. Les étoiles étincelaient et il ne put s'empêcher de poser son sac pour s'accouder au bord du pont, admirant le reflet des étoiles dans l'eau calme. La nuit tombait tôt en hiver. Il n'était que 19 heures et, déjà, l'obscurité avait emplie la ville.

 Il se demanda un instant ce qu'était devenue Akazome. Il n'aurait peut-être pas dû la jeter ainsi de chez lui... Qui sait, elle était peut-être devenue une pute pour de vrai ? Il s'en voulut quelque peu, avant de se rappeler ce qu'elle avait faillit faire à sa soeur. Elle le méritait. Il n'avait aucuns regrets à avoir.  

 ....................

 Fang marchait, en quête d'une nouvelle proie, lorsqu'il aperçut celui qu'il aurait dû manger la veille au soir. Un sourire machiavélique apparut sur ses lèvres. Cette fois-ci, il ne le laisserait pas partir !

_ « Bonsoir. » fit-il en s'approchant tellement doucement que Katsumi ne l'avait pas entendu. Ce dernier, d'ailleurs, sursauta avant de reconnaître Fang.

_ « Salut. »

 Il n'avait plus l'air triste, comme il l'était la dernière fois, mais juste lassé.

 _ « Ca va pas ? » demanda Fang, avant de se baffer intérieurement. Pourquoi il lui a demandé ça lui ? Il ne veut pas tailler causette, juste se le faire et le mordre après. Et Fang a apprit, avec l'expérience, que ce n'est pas en parlant avec ses victimes que ça allait vite.

 _ « Non. » répondit Katsumi, franc.

 Fang se reprit avant de lui poser une question conne du genre ''Qu'est-ce qui ne va pas ?''. Non mais il n’allait vraiment pas bien ce soir !

 _ « Peut-être que... » Il s'approcha lentement de lui, se léchant les lèvres sensuellement, « Peut-être que baiser t'aiderait à oublier tes soucis ? »

 _ « Peut-être... Mais je n'ai vraiment pas envie ce soir. Et ma petite soeur m'attend. » fit-il, avant de reprendre son sachet et de disparaître dans la nuit.

Fang se serrait frappé la tête de découragement s'il savait que ce n'était pas avec des bleus qu'on pouvait emballer. C'était la deuxième fois que ce crétin lui filait entre les doigts ! Mais comment pouvait-on s'occuper de sa soeur plutôt que d'avoir envie de baiser avec lui ?

 Un vieux souvenir le traversa. C'était il y a si longtemps... Une éternité. Il se souvenait... Une maison, des parents absents, sa soeur... Sa petite soeur qui avait disparut, emportée par on ne sait qui...

 Fang secoua la tête. Décidemment, il n'allait vraiment pas bien en ce moment ! Depuis quand il se souvenait de sa vie d'avant ? Et qui était-ce, cette petite fille ?

 Il soupira et rentra à la crypte : il n'avait plus faim, ce Katsumi lui avait coupé l'appétit.

 O.O

_ « Je commence à m'inquiéter pour toi tu sais ? Ça va bientôt faire une semaine que tu n’as pas baisé et que t'as pas bouffé ! » s'exclama Clémence, une soirée, vêtue d'une robe noir échancrée qui laissait apparaître sa superbe poitrine.

 _ « Pas faim. »

 _ « Fang... »

 _ « Toujours avec ton riche amant ? »

 _ « Toujours. » répondit-elle en accrochant ses boucles d'oreilles... bah... aux oreilles (NdA : XD).

 _ « Au faite Clémence. » demanda Fang, alors que cette dernière allait passer la porte pour partir.

 _ « Oui ? »

 _ « Est-ce qu'on a eu une petite soeur ? »

 _ « Une petite soeur... ? Non, je ne crois pas. Pourquoi ? »

 _ « Pour rien, laisse... »

 La jeune (?) femme haussa les épaules et sortit, alors que Fang se permit une sieste sur le canapé.

 o_O

 _ « Fang ! Viens vite ! » cria une fillette d'environ sept ans, du jardin.

 _ « Qu'est-ce qu'il y a encore Jane ? » soupira Fang.

 _ « Y a Miel qui a mal à la jambe. »

 _ « J'ai pas le temps de m'occuper de ça ! »

 En effet, le jeune homme était en train de se faire tailler une pipe par un de ses nombreux amants, profitant de l'absence de ses parents.

 _ « Mais Fang... » implora la fillette. « Y va faire nuit ! »

 _ « Et bah laisse-le ici ! J'irai demain ! Va te coucher maintenant. »

 _ « Alors c'est moi qui vais l'amener chez le vétérinaire... Et toute seule ! Et puis d'ailleurs... »

 Fang n'entendit pas la fin de la phrase, se déversant dans la bouche experte de... Steven ? Alexander ? Il ne savait plus et il s'en fichait bien, du moment que lui, on lui faisait du bien.

 Ce soir-là, ce fut la dernière fois qu'il vit sa soeur...

 O_o

 Fang se réveilla en sursaut. Qui était cette petite fille ? Il ne se souvenait pourtant pas d'avoir eu une soeur... Il soupira. Trop de souvenirs avaient assaillis sa tête depuis qu'il avait rencontré ce mystérieux garçon aux cheveux blonds. 

A suivre... 

Comme promis, la suite de Pédopsychiatre avec un lemon... XD

 

Trois coups, nets et précis.

 

_ « Entre. » fit simplement Eiji.

 

Enzo ouvrit la porte, timidement.

 

_ « Tu... Tu es sûr qu'il n'y a personne ? » demanda-t-il, pas du tout rassuré, malgré ce que lui avait dit Eiji quelques heures plus tôt.

 

_ « Bien sûr que j'en suis sûr. Arrête donc de te prendre la tête avec ça. » fit Eiji, qui commençait vraiment à avoir marre du comportement de son aîné.

 

Enzo referma la lourde porte, mais ne bougea pas de l'entrée pour autant.

 

_ « Tu compte prendre racine ici, alors qu'un bon jacuzzi t'attend ? » demanda Eiji, un sourire pervers aux lèvres.

 

_ « Je... Non. » fit le moniteur en s'avançant un peu plus.

 

La pièce était sombre et seuls quelques bougies et un rayon de lune illuminaient la pièce. Eiji était là, assit confortablement dans le jacuzzi. Il s'amusait à regarder Enzo, qui avait vraiment l'air apeuré.

 

_ « Viens... » dit Eiji d'une voix grave et sensuelle.

 

Le moniteur ne pu s'empêcher de frissonner à l'entente de cette voix et il avança jusqu'à se retrouver en face du jacuzzi de son cadet.

 

_ « Déshabille toi... Entièrement. »

 

Enzo ne pu qu'obéir à cette voix chaude. Eiji était une sorte de fruit défendu et l'éducateur ne pouvait s'empêcher de le désirer. Il savait que c'était mal, mais comment résister ? Il enleva donc ses habits petit à petit, plus par timidité que pour faire désirer le plus jeune.

 

Une fois complètement nu, il pénétra dans le jacuzzi. Eiji vient immédiatement auprès de lui, se collant à son torse, posant ses mains sur ses hanches.

 

_ « Tu as peur qu'on nous découvre Enzo ? »

 

L'adulte répondit positivement de la tête.

 

_ « Mais n'est-ce pas ce qui rend la chose plus... excitante ? » demanda Eiji en se passant la langue sur la lèvre inférieure, sensuellement.

 

Enzo eu beaucoup de mal à déglutir. Cette voix...

 

_ « Et si on reprenait où on s'était arrêter ? »

 

_ « Je... Tu veux me sucer dans un jacuzzi ? » demanda Enzo, visiblement étonné.

 

_ « Bah oui, pourquoi pas ? Lève-toi. »

 

_ « Quoi ? »

 

_ « Lève-toi ! »

 

Enzo s'exécuta et, immédiatement, Eiji vint se placer devant lui. Il s'arrêta devant le sexe de son aîné et souffla doucement dessus.

 

_ « Je suis déçut... »

 

_ « Pourquoi ? »

 

_ « Tu bandes pas. »

 

_ « Je suis hum... stressé. » fit Enzo, embarrassé.

 

_ « Et ben détends-toi alors. » sourit Eiji, « C'est parce que je vais te sucer que tu es stressé ? T'as peur de voir à quel point tu es incompétent face à moi ? »

 

_ « Idiot... » répondit simplement Enzo en donnant une petite tape sur la tête de Eiji.

 

_ « Si je ferme la porte, ça te détendra ? »

 

Enzo acquiesça. En soupirant, Eiji se leva, nu et trempé, et alla fermer la porte à clef.

 

_ « Rassuré ? »

 

A nouveau, Enzo acquiesça. Eiji fit demi-tour et revint se positionner devant l'adulte. Enzo était toujours debout et Eiji, comme avant, souffla sur le sexe de son partenaire. Mais, à la différence de la fois précédente, le sexe du moniteur se durcit et Eiji s'amuser alors à souffler sur le gland.

 

_ « Et ben... Juste en fermant une porte... » se moqua gentiment le japonais.

 

_ « Tais-toi... » gémit Enzo.

 

Les mains de Eiji taquinèrent les testicules, alors que sa bouche s'ouvrit pour laisser passer sa langue qui taquina le gland rosé de l'éducateur, qui gémit.

 

_ « Ei... Eiji... »

 

Le japonais savait exactement ce que voulait son aîné, mais n'était pas pressé de le satisfaire. Il fit le tour du membre de sa langue, sa main droite taquinant toujours les testicules tandis que l'autre caressait la raie des fesses. Enzo gémissait de plus en plus fort et le suppliait de le prendre entièrement en bouche, mais Eiji s'y refusait, du moins pour le moment. Il aimait faire ''souffrir'' ses partenaires et il adorait les ''déguster'' avant de les sucer ou de les prendre.

 

Au bout de dix minutes de ''torture'', Eiji décida de prendre le sexe de son aîné en bouche, tout en entrant un de ses doigts dans son anus, doigt que Enzo ne sentit même pas. Un deuxième puis un troisième s'ajoutèrent. L'éducateur gémit de douleur et Eiji accéléra la cadence sur son sexe pour lui faire oublier la douleur.

 

_ « Eiji... Je... Je vais... »

 

Ce dernier comprit immédiatement et retira sa bouche. Enzo gémit de frustration et Eiji sourit.

 

_ « Viens... » fit-il en reculant jusqu'à l'autre extrémité du bassin.

 

Enzo le rejoigint immédiatement, frustré. Lorsque ce dernier arriva assez près de lui, Eiji le tira pour le coller contre son torse.

 

_ « Assieds-toi sur moi... En moi... » lâcha-t-il, sensuellement.

 

Excité à mort (NdA : lol), Enzo se redressa puis s'assied doucement sur Eiji, faisant ainsi pénétrer son sexe à l'intérieur de lui, l'eau agissant comme du lubrifiant sur le sexe du japonais. Malgré l'eau, Enzo ne pu retenir un rictus de douleur et Eiji descendit sensuellement sa main du torse du moniteur jusqu'à son sexe, lui faisant quelque peu oublier la douleur. Au bout de quelques minutes, Enzo fit des va-et-vient, les faisant gémir tous les deux. La main de Eiji masturbait Enzo au rythme de leurs va-et-vient et ce dernier ne tarda pas à éjaculer. Eiji le suivit quelques secondes plus tard, l'anneau de chair qui s'était resserré autour de son membre l'emmenant à la jouissance.

 

Essoufflé, Enzo tomba sut Eiji, mais ne s'enleva pas pour autant, gardant le japonais en lui.

 

_ « Déjà essoufflé Enzo ? » sourit Eiji.

 

_ « Je... voudrais bien... t'y voir...toi... » haleta Enzo, « Tu... n'avais... pas besoin... de bouger... »

 

_ « Je le reconnais. Que dirais-tu si on inversait les positions ? Je suis celui qui fait tout le boulot et toi tu ne bouges pas. » demanda Eiji, con sexe durcissant à nouveau à l'intérieur d'Enzo.

 

Ce dernier ne répondit pas, mais descendit des genoux de son amant – sans pour autant retirer le sexe du japonais de l'intérieur de son corps – ce qui obligea le châtain à le suivre.

 

Enzo était à présent debout, dos à Eiji, les deux mains sur le rebord du jacuzzi et les fesses arquées en arrière. A cette vison, Eiji banda encore plus et commença ses coups de butoir, d'abord doucement puis, lorsqu'il vit que Enzo gémissait de plus en plus fort, il accéléra la cadence, le masturbant en rythme. Ils jouirent rapidement et Eiji se retira de son amant.

 

_ « C'est repartit ? » demanda Eiji, lorsqu'il eu reprit son souffle.

 

_ « Tu... n'es... jamais rassasié ? » demanda Enzo qui, lui, avait du mal à reprendre son souffle.

 

_ « Jamais... » murmura Eiji à l'oreille d'Enzo, sensuellement.

 

A suivre...

Je suis vraiment vraiment vraiment désolée!!!! Je sais que ça fait super longtemps que j'ai rien posté et je profite du fait que je sois malade et à la maison pour terminer mes chapitres et en écrire de nouveau =p

J'espère que ce chapitre vous plaira! Un nouveau chapitre de Pédopsychiatre (appelée anciennement Psychiatre mais Elle Sid m'a fait remarqué que, à 17 ans, c'est un pédopsychiatre qu'il faut aller consulter. De toute façon, ça ne change rien XD) devrait bientôt arriver, je suis en plein écrivage du lemon =p

Bonne lecture et merci pour vos comms!!!

 

__________________________________________________

La pièce était sombre et seul quelques bougies laissaient passer un peu de lumière. Il avait froid. Tous ses membres tremblaient et l'unique chemise de nuit – bien qu'elle lui aille jusqu’aux genoux – ne suffisait en rien à le réchauffer. Peu à peu, ses yeux s'habituèrent à l'obscurité et il remarqua qu'il était attaché sur une grande planche en bois. Et lui, lui le regardait. Mais il ne le regardait plus comme  il le regardait autrefois. Ses yeux, auparavant tendre, étaient à présent d'une noirceur effrayante. Il s'avança vers lui, un sourire sadique accroché au visage.

_ « Que... Que fais-tu ? »

_ « Je te fais rejoindre les notres. »

Il se mit à trembler, de peur et de froid mélangé.

_ « Allons, ne me dit pas que tu as peur de moi quand même ? » dit-il en passant une main froide sur sa joue.

Il ne pu répondre, la frayeur l'empêchant de parler.

_ « Si ? Après tout ce que nous avons vécut ? »

_ « Tu... tu n'étais... pas comme ça... avant. » réussit-il à articuler, entre deux tremblements.

_ « Sois heureux Fang. Tu es le premier que le maître m'autorise à enrôler. »

_ « En... Enrôler ? »

_ « Pas dans l'armée, non... » fit-il, comme s'il avait deviné les pensées de sa victime. « Dans nos troupes. »

_ « Vos... Vos troupes ? »

L'homme ne prit pas la peine de répondre et se baissa pour poser ses lèvres sur celles de Fang, laissant sa langue entrer dans l'antre chaud de l'humain. Il sentit ce dernier se détendre et réclamer plus, mais il se retira brusquement.

_ « Tu m'étonneras toujours Fang... Même dans ce genre de situation tu as encore envie de baiser. »

Le mot ''baiser'' fit mal à Fang, mais il ne dit rien.

_ « Tu bandes ? »

Question inutile, puisqu'il voyait très bien la bosse déformer la chemise de sa victime.

_ « Je te promet que, dès que ce sera finit, je te baise. »

Il reposa ses lèvres sur celles de Fang quelques secondes, puis laissa sa bouche dériver le long de sa machoire, jusqu'à arriver au cou et à la veine palpitante qui l'attirait depuis si longtemps. Il la mordilla gentiment et Fang se mit à gémir. Puis, sans prévenir, il enfonça ses crocs dans le cou de l'humain, avalant son sang.

Fang cria de douleur, et l'homme rit, d'un rire à vous glacer le sang.

....................

Fang se réveilla en sursaut. Encore un de ces rêves ! Enfin... Un de ces souvenirs plutôt. Il avait l'impression d'avoir vécut cette scène pour la deuxième fois. Il pouvait encore sentir ses crocs sur son cou. Inconsciemment, il passa une main sur sa veine. Une cicatrice y était présente : sa trace. Il regarda sa montre : 7h. Il n'avait dormit qu'une heure. Il se retourna sur le canapé inconfortable et ferma les yeux, espérant se rendormir.

T0ñ §âñg Ðâñ§ Mâ ß0µ¢|-|ê

Ce fut le réveil qui réveilla Katsumi. Il n'avait pas beaucoup dormit cette nuit et la fatigue se faisait ressentir. Il se leva quand même, il devait préparer le petit-déjeuner de Mitsuko et l'amener à l'école. Il prit donc ses habits, puis alla prendre sa douche. La vision de la salle de bain faillit le faire vomir tant le souvenir de ce qui s'y était passé la veille était encore frais dans son esprit.

Lorsqu'il eu finit de se laver, il appela sa meilleure amie.

_ « ... »

_ « Kimuko ? C'est Katsumi. »

_ « ... »

_ « Ca pourrait aller mieux. Enfin, ce n'est pas pour ça que je t'appelle. J'ai viré Akazome de chez moi et j'aurais besoin que tu gardes Mitsu entre midi et deux et à quatre heures et demi, juste le temps que je m'arrange et que je trouve une baby-sitter. »

_ « ... »

_ « Merci, je ne sait pas ce que je ferais sans toi. »

_ « ... »

_ « Sûrement ! Bon, j'te laisse, faut que j'aille réveiller Mitsu. »

_ « ... »

_ « Bisous. »

Katsumi soupira de soulagement. Au moins une bonne chose de faite ! Il raccrocha et prépara le petit-déjeuner pour sa soeur, qu'il alla réveiller d'un baiser sur le front, quelques minutes plus tard.

_ « Petite fée... Debout... C'est l'heure. »

Mitsuko n'ouvrit pas les yeux et se retourna pour se retrouver dos à son frère.

_ « J'ai préparé le petit-déjeuner. Allez viens, ça va être froid. »

La petite consentit enfin à se retourner et à ouvrir les yeux.

_ « Eh ma belle... Tu viens ? »

La jeune japonaise se leva et, avec hésitation, alla jusqu'à la porte de sa chambre pour regarder dans le salon.

_ « Akazome n'est plus là, ne t'en fais pas. Je lui ai dit de partir hier, elle ne reviendra plus, ne t'en fais pas. C'est Kimuko qui s'occupera de toi jusqu'à ce que je trouve une solution. »

Mitsuko eu un sourit ravi et alla, toute guillerette, dans la cuisine pour manger. Voir sa soeur sourire réchauffa le coeur de Katsumi. Depuis combien de temps n'avait-elle pas sourit ?

(¯`·._)тσи ѕαиg ∂αиѕ мα вσυ¢нє(¯`·.

Combien de coups avait-il tiré depuis sa transformation ? Au moins une centaine, voir plus. Mais aucuns ne le remplacerai. Fang était tombé amoureux de lui. Il se laissait prendre par amour. Et dire qu'il croyait que son amour était réciproque ! Après sa transformation, il l'avait baisé puis avait disparut dans la nature, le laissant se débrouiller seul. Il lui avait fallut du temps pour découvrir qu'il était devenu un vampire, en faite, c'est l'envie de sang qui l'avait fait découvrir ''son nouveau lui''.

Fang soupira. Depuis lui, il ne s'était plus jamais laissé prendre et n'en avait eu aucunement envie depuis tout ce temps. Mais depuis qu'il avait rencontré cet humain, il avait ressentit une vieille sensation. Mais... C'était impossible n'est-ce pas ? Son coeur ne battait plus, alors pourquoi avait-il eu cet impression de chaleur à l'emplacement du coeur ?

Même lorsqu'il baisait, il n'avait pas chaud. Son royaume était les ténèbres et le froid, ni la lumière ni la chaleur n'avait sa place. Alors, que se passait-il ?

A suivre...

Fang s'avança en essayant de faire le moins de bruit possible. Sa proie ne se rendait compte de rien et continuait de regarder le ciel. Bien qu'il fasse nuit noir, grâce à sa ''condition'', Fang pouvait très bien voir le jeune homme. Dos à lui, il devait bien mesurer dans les 1m80 et avait un ''merveilleux petit cul'' (NdA: comme celui de Justin dans Queer as Folk *bave*) selon Fang. Ses cheveux blonds étaient courts et coiffés en pic et il portait, à l'oreille gauche, un simple anneau en argent. Le vampire ne pensait pas que le jeune homme serait aussi grand. En effet, le vampire mesurait 1m82, soit seulement deux centimètres de plus que le jeune homme.

 

Fang avait une façon bien particulière de ''manger'' ses victimes. D'abord, il venait à leur rencontre, jouant la carte du ''coup de foudre'' ou du ''je vous trouve vraiment superbe et j'ai très envie de baiser'', puis il les ramenaient à la crypte, couchait avec et, dans la jouissance, les mordaient jusqu'à ce qu'ils en meurent. Sa préférence allait vers les hommes, mais les femmes s'avéraient aussi de très bonnes partenaires et leur sang était plus sucré que celui des hommes.

 

Il rétrécit ses canines pour leur rendre un aspect normal, ses recoiffa légèrement et avança d'un pas décidé vers ''son homme''.

 

_ « Bonjour... Ou plutôt devrais-je dire bonsoir. »

 

 

:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::

 

 

Katsumi se retourna brusquement à l'entente de la voix. Il se trouvait face à un homme d'environ 25 ans dont les longs cheveux noirs tombaient jusqu'au creux des reins du propriétaire. Le japonais ne pouvait pas très bien voir, mais il lui semblait que de légers reflets rouges apparaissaient sur les cheveux de l'homme. Il ne put malheureusement pas voir le visage de l'inconnu, la pénombre le lui cachant.

 

_ « Bonsoir. » répondit Katsumi, pas plus enthousiaste que ça.

 

_ « Personne ne vous accompagne ? » demanda l'homme

 

_ « A votre avis ? » répondit le japonais, agressif.

 

Le vampire sourit du ton qu'avait employé sa proie. Il était vrai qu'il n'avait pas trop assuré sur ce coup là. Il regarda attentivement son interlocuteur : de magnifiques yeux verts émeraude, un nez légèrement retroussé, des lèvres roses et fines, il était vraiment superbe. Il devait avoir 17 ans, 19 au maximum.

 

_ « Fang. » fit le vampire en tendant sa main au jeune homme.

 

Celui-ci prit un certain temps avant de tendre également sa main au dénommé Fang et à la lui serrer.

 

_ « Katsumi. »

 

_ « Tu es prit Katsumi ? »

 

_ « Quoi ? » demanda le blond, stupéfait de l'audace de l'homme.

 

_ « Oui, est-ce que tu as un ou une petite amie ? Es-tu marié ? As-tu des enfants ? »

 

Le japonais secoua la tête en signe de négation.

 

_ « J'ai une soeur à charge et une petite amie que je vais sûrement bientôt plaquer. »

 

_ « Intéressant. »

 

_ « Pourquoi ? » demanda Katsumi, étonné.

 

_ « Parce que... » Fang s'approcha lentement de Katsumi avec une démarche féline, « tu me plaît beaucoup... » Il posa ses lèvres sur celles du japonais, « et que j'ai très envie de baiser. » finit-il en touchant l'entrejambe du blond, qui se sentit légèrement durcir à ce contact.

 

DRIIIIIIIIIIIIIING!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

_ « Excuse-moi. » fit Katsumi en s'éloignant de l'homme.

 

Fang grogna mais laissa son futur amant répondre au téléphone;

 

_ « Ouais ? » lâcha le blond.

 

_ « ... »

 

_ « Maintenant ? »

 

_ « Ouais... Et Mitsuko ? »

 

_ « ... »

 

_ « Nan ! T'as pas fait ça ? »

 

_ « ... »

 

_ « J't'ais déjà dit de ne pas la forcer ! »

 

_ « ... »

 

_ « J'arrive... Surtout ne fais et ne dis rien jusqu'à ce que je sois là ! »

 

Katsumi raccrocha violement.

 

_ « Faut que j'te laisse. Ma petite amie a encore fait une connerie. »

 

Fang grogna. Son repas allait lui passer sous le nez !

 

_ « Attend ! » s'écria-t-il en saisissant le bras du blond qui commençait déjà à s'éloigner, « Tu ne vas pas me laisser seul ! Je comptais sur toi ! »

 

_ « Désolé... Fang. Mais ma soeur a besoin de moi. »

 

En voyant le japonais s'éloigner dans la nuit, Fang se demanda pourquoi il l'avait laisser partir sans rien tenter d'autre.

 

 

:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::

 

 

Katsumi se retrouva rapidement devant son immeuble, une espèce de grande façade grise recouverte de tags. Comme toujours, un clodo lui demanda une pièce et le japonais l'ignora. Le hall d'entré n'était guère mieux, si ce n'est pire. C'est en effet ici que les jeunes se retrouvaient pour dealer ou fumer. Les ascenseurs étaient emplis de pisse de chien et Katsumi préféra donc prendre les escaliers. Sur sa porte, le chiffre 3 du numéro 13 restait accroché on ne sait comment et la poignée était à moitié arrachée.

 

_ « Kats ! » s'écria une magnifique rousse en se jetant dans ses bras.

 

_ « Pas maintenant Akazome. Où est Mitusko ? » demanda Katsumi, inquiet.

 

_ « Dans la salle de bain. Elle ne veut pas me laisser entrer. »

 

Katsumi se précipita dans ladite salle de bain. La porte était fermée à clef et il dut donc appeler à travers la porte :

 

_ « Mitsu ? Est-ce que je peux entrer ? »

 

Bien sûr, aucunes réponses ne lui parvint.

 

_ « Tu m'ouvres ma puce ? » redemanda Katsumi, de plus en plus inquiet.

 

Aucuns bruits, si ce n'est l'eau qui coule. Katsumi n'a pas d'autres choix que de défoncer la porte. Enfin défoncé... c'est un bien grand mot. Il se contenta en effet de forcer la poignée. Le blond arriva juste à temps. Sa petite soeur allait mettre la tête sous l'eau qui emplissait la baignoire de la minuscule salle de bain.

 

_ « Mitsu ! »

 

Katsumi se dépêcha d'arriver auprès de la fillette qui avait relevé la tête et qui arborait un visage triste, qu'aucuns enfants ne devrait avoir à cet âge là.

 

Il sortit sa soeur du bain et l'enveloppa dans une immense serviette en coton blanche et la serra contre lui.

 

_ « Plus jamais. » murmura-t-il au creux de son oreille, « Plus jamais tu ne me fais ça, compris ma fée ? »

 

La fillette acquiesça et se nicha encore plus contre le corps chaud et rassurant de son frère.

 

_ « Je t'aime ma fée. Je t'aime plus que tout au monde, compris ? Et si un jour il te vient à l'idée de refaire ce que tu viens de faire, je veux que tu te souviennes que je t'aime, d'accord ? »

 

La petite fille hocha la tête et quelques larmes coulèrent sur sa joue.

 

_ « Chut... » murmura le jeune homme, « Ca va aller ma belle, je te le promet. »

 

Ils restèrent un long moment ainsi, jusqu'à ce que la fillette, bercée par son frère, ne se laisse allée dans les bras de Morphée.

 

 

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Tout en prenant garde de ne pas la réveiller, le blond la porta jusque dans la petite chambre rose où il la revêtit d'un pyjama. Elle fut recouverte de ses draps pour ne pas qu'elle ait froid et Katsumi déposa un baiser tendre sur le front de sa fée. Puis il vida la baignoire et fila droit dans sa chambre, où il savait que sa petite amie l'attendait.

 

_ « Tu m'as manqué Kats... » fit-elle d'une voix sensuelle lorsque ce dernier pénétra dans la chambre.

 

Elle tenta de l'embrasser, mais elle fut repoussée sans ménagement.

 

_ « Je n'arrive pas à croire que tu oses encore vouloir m'embrasser après ce que tu as fait à ma soeur. »

 

_ « Bah... Elle s'en remettra. »

 

_ « Elle s'en remettra ? Comment as-tu osé lui parler de la mort de mes parents ? Comment as-tu puis lui dire que papa a eu une overdose et que maman s'est sucidée ? Elle n'a que dix ans bordel ! » commençait à s'énerver Katsumi.

 

_ « Et alors ? » demanda la rousse, la voix pleine de mépris.

 

_ « Et alors ? » hurla le blond, « Elle a faillit se sucider ! Se sucider ! »

 

_ « Dans ce cas, elle ne vaut pas mieux que ta mère ! » hurla à son tour Akazome.

 

_ « Je t'interdis de parler ainsi de ma soeur ! »

 

_ « Ce n'est qu'une chieuse ! »

 

_ « Dehors ! »

 

_ « Quoi ? »

 

La rousse s'arrêta subitement de crier, tellement elle était étonnée.

 

_ « J'ai dis dehors ! Dégage ! Je ne veux plus jamais te voir ! Tu entends ? Sors de notre vie ! »

 

_ « Mais... Kats... »

 

_ « Dégage ! Je te donne dix minutes pour ranger tes affaires et disparaître de cet appartement ! » hurla-t-il encore plus fort en lui balançant une valise presque en plein visage.

 

_ « Mais... Je n'ai aucun endroit où aller... » supplia la rousse.

 

_ « Je n'en ai rien à foutre Akazome. Tu n'auras qu'à faire pute, puisque c'est la seule chose que tu sais faire. »

 

Elle lui lança un regard outré, mais ne répliqua pas.

 

_ « Et tu as intérêt à être partie quand je reviens sinon... »

 

_ « Sinon ? » le provoque Akazome.

 

_ « Sinon tu sortiras de cet appartement les pieds devant. C'est bien clair ? »

 

_ « Tr... Très clair... »

 

Akazome déglutit difficilement. Le regard vert de son amant lui faisait peur. Brusquement, le jeune homme sortit de la pièce pour aller voir si Mitsuko dormait toujours. Les longs cheveux blonds de la fillette formaient comme une auréole sur le coussin. ''Oui, pensa Katsumi, c'est un ange. C'est mon ange.''

 

Il la berça pendant un moment, et, lorsqu'il revint dans sa chambre, il fut heureux de constater que Akazome été partie.

_ « Parce que... Parce que je... »

Eiji ne put finit sa phrase, un sanglot le traversa et il ne put le retenir.

  

 

 _ « Parce que tu quoi Eiji ? » demanda plus doucement la directrice.

 _ « C'est... C'est de ma faute. Ça... Ce ''truc'' m'a reprit et... »

 _ « Tu en as parlé au pédopsychiatre ? »

 _ « Euh... non. » avoua Eiji, la tête basse.

 _ « Eiji ! Ce n'est pas pour rien que l'orphelinat te payes ces séances avec un pédopsy ! »

 

_ « Je sais c'est juste que... »

 

_ « Que... ? » le pressa la directrice.

 

_ « J'arrive pas à en parler. »

 

_ « Eiji... » fit la directrice, en se levant pour prendre celui-ci dans ses bras. « Ce ''truc'' comme tu l'appelles te bouffe la vie ! Et ce n'est pas en ne faisant rien que tu y changeras quelque chose. En parler à quelqu'un qui ne te jugera pas, c'est ça qui te guérira. Je sais ce que tu as vécut avant d'arriver ici et je n'ose même pas imaginer ce qui se serait passé si je ne t'avais pas prit à l'orphelinat, mais tu ne peux pas te permettre de continuer comme ça ! »

 

_ « Je sais Marie. » répondit simplement l'adolescent en refermant sa prise autour de la femme.

 

Certes, il était plus grand qu'elle, mais ça n'empêchait pas qu'il se sentait tout petit à ce moment précis.

 

_ « Est-ce que... Est-ce que Enzo est toujours renvoyé ? » hésita à demander Eiji en se dégageant de l'étreinte maternelle de Marie.

 

Les sourcils de la directrice se froncèrent à cette demande et c'est avec une voix redevenue glaciale qu'elle répondit :

 

_ « Il n'avait pas à faire ce qu'il a fait. »

 

_ « Tu crois qu'il m'a obligé ? »

 

_ « Je... Ecoute Eiji, qu'il t'ai obligé ou non ne change rien il... »

 

_ « Mais ça change tout au contraire ! Si je suis consentant, bah vous n'avez pas besoin de le renvoyer ! »

 

_ « Il a accepté ! »

 

_ « Je l'ai forcé ! »

 

_ « Ce n'est pas ce que j'ai vu ! »

 

_ « Mais c'est normal qu'il bandait ! Si on vous faisait un cunni vous réagiriez aussi ! »

 

_ « Eiji ! Ne parle pas comme ça ! »

 

_ « Je parle comme je vous ! » cria Eiji, « Vous n'êtes pas ma mère ! Parfois, je préférerais ne jamais vous avoir rencontré ! »

 

Le japonais se rendit compte qu'il était allé trop loin. Le visage de sa directrice s'était décomposé et elle semblait sur le point de fondre en larmes.

 

_ « Je... Je suis désolé. » s'excusa Eiji

 

_ « Sors. »

 

_ « Mais... »

 

_ « Sors je te dit. Je garderai Enzo mais sors de là tout de suite ! »

 

C'est penaud que Eiji prit la porte de sortie. Il se demanda vaguement où était Enzo, puis il se rappela que, comme ce dernier croyait être renvoyé, il devait certainement faire ses valises. Ce fut mollement qu'il monta les escaliers et arriva dans la chambre de l'aîné.

 

_ « Qu'est-ce que tu fais ? » demanda le japonais en s'affalant sur le lit, à côté de la valise à moitié pleine du moniteur.

 

_ « Ma valise. J'suis renvoyé tu te souviens ? »

 

_ « Plus maintenant. »

 

_ « Quoi plus maintenant ? »

 

_ « J'ai ''plaidé'' ta cause auprès de la directrice. Tu restes. »

 

Enzo en fut tellement surpris qu'il en lâcha le string léopard (dsl, j'ai pas put résister XD) qu'il avait dans les mains.

 

_ « Tu as quoi ? »

 

_ « J'ai plaidé ta cause. Je l'ai fait chialer mais bon. »

 

_ « Eiji je... je sais pas comment te remercier. » dit l'éducateur qui avait presque les larmes aux yeux.

 

_ « Tu me rejoins au jacuzzi ce soir à minuit. » fit Eiji, une lueur de désir dans le regard.

 

_ « Mais c'est fermé à clef ! »

 

_ « J'ai un double. Toque trois fois à la porte et je t'ouvrirais. »

 

_ « Heu... Mais si on se fait attraper ? » s'inquiéta Enzo.

 

_ « Y a pas de risque. Personne des dortoirs ne viendra si je leur interdis. Quand aux éducs, ils respectent bien trop le règlement pour ça. »

 

Voyons que Enzo allait riposter, le châtain ajouta :

 

_ « Je l'ai déjà fait. Ne t'inquiète pas Enzo, il n'y a aucuns danger. »

 

_ « Si tu le dis. » fit simplement le plus âgé en haussant les épaules.

 

_ « Je le dis. » répondit Eiji avant de sortir de la chambre en envoyant un baiser du bout des doigts au moniteur.

 

A suivre...